Le Quartier de la Noue à Bagnolet fait face à une violence devenue insupportable pour ses riverains : vols, agressions, meurtres… c’en est trop ! Le 21 octobre dernier un homme a été violemment agressé pour le simple vol de son sac sur la voie publique. Conclusion : un coup de marteau, quatre coups de feu et deux balles dans la cuisse ! La semaine dernière, c’est un SDF qui a été retrouvé égorgé à hauteur du 10 rue de l’Epine. Les délinquants n’ont aucun scrupule et n’hésitent pas à agresser femmes et personnes fragilisées.
C’en est trop ! La sécurité est une affaire de tous et elle doit être rétablie !
La communauté asiatique est fortement implantée à la Noue et souffre particulièrement de ces agressions. L’Union Franco Chinoise, soutenue par l’AJN*, Temps Libre et l’AJCF** a organisé, ce samedi 16 novembre, une manifestation dans les rues de Bagnolet.
Largement relayée, cette manifestation a rassemblé un grand nombre de Bagnoletais, dont beaucoup d’élus et de représentants associatif de la ville. La presse et les médias étaient aussi au rendez-vous.
L’association Bagnolet Montreuil l’Essor Parisien a également pris part au cortège. Nous soutenons pleinement les riverains de la Noue et appelons les autorités à mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour restituer la tranquillité et la sécurité dans ce quartier.
* : Association Jeunesse la Noue
** : Association des Jeunes Chinois de France
Montreuil
Il n’y a plus de police municipale ?
Et la nationale ?
La sécurité est un droit à faire respecter sur tout le territoire, sur tous les quartiers de Bagnolet. Face à la situation actuelle, il faudrait alerter aussi, à nouveau, le Préfet. Non ?
Martine, une simple habitante des Coutures
cricri
De nombreuses femmes de la communauté chinoise ont été agressées systématiquement jusqu’à 2 soirs par semaine vers 18:00 rue Fructidor et Rue Marie Anne Colombier toute l’année 2012. Toujours le même scénario, un jeune casqué porte un coup fort à la tête de la vitime, la jette à terre, lui arrache le sac, puis se sauve en mobylette, attendu par un complice casqué. Coups violents, cris, pleurs, appels au secours, course, à l’heure où ‘(on rentre du travail, près des stations de bus 122-318-76. Les riverains portaient secours, la police venait rapidement et emmenait la femme attaquée faire un parcours en voiture pour essayer de repérer le coupable. Des avis de prudence étaient postés dans les immeubles, les compte rendus des réunions syndicale listaient régulièrement les agressions, le vandalisme, les vols…. Cela a été très traumatisant, surtout à la résidence La Dhuys, où habitent de nombreuses familles chinoises. La peur reignait. Cela s’est un peu calmé; la résidence va être sécurisée. Mais d’apprendre que ces indicvdus sévissent ailleurs, non loin, c’est la pure horreur !